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Hernies

La hernie inguinale est la plus fréquente. Elle se présente au niveau de l’aine, la ou passe le « cordon spermatique » chez l’homme ; le « ligament rond » chez la femme.  C’est un orifice naturel de la paroi abdominale qui représente une zone de faiblesse. Elle peut être présente dés la naissance, voir apparaître à l’âge adulte.

Les symptômes peuvent apparaître soit subitement (après un effort), soit graduellement.  Elle se traduit par l’apparition d’une « voussure dans la région de l’aine » qui disparaît en position couchée. Le risque principal de ce type d’hernie est l’étranglement d’une anse intestinale dans le sac herniaire. C’est une urgence chirurgicale.

Le traitement chirurgical d’une hernie inguinale est généralement réalisé par voie laparoscopique (excepté lorsqu’elle est associée à une « pubalgie »). La laparoscopie à l’avantage de visualisé les deux orifices inguinaux de l’intérieur de l’abdomen et permet un diagnostic précis de la maladie, le patient présente peu ou pas de douleur post opératoire et le retour à une activité normale se fait plus rapidement.

La hernie ombilicale se présente au niveau du nombril. C’est également un orifice naturel de l’abdomen, là ou s’insère le « cordon ombilical » étant bébé. Souvent, elle se présente comme une « petite boule sous la peau » au niveau du nombril. La hernie ombilicale présente dés la naissance dite « congénitale » disparaît  souvent au cours des premières années. A l’âge adulte elle ne peut être traitée que par une opération chirurgicale. Au-delà de son aspect inesthétique, la hernie ombilicale peut provoquer une gêne, une douleur, voir une « occlusion intestinale » lorsqu’une anse intestinale est « coincée » dans le sac  herniaire.

Pour éviter les complications et le risque d’une intervention en urgence une réparation pariétale est proposée. La cure peut s’effectué par laparotomie ou par voie laparoscopique. Le chirurgien, en fonction de l’importance de la hernie et de la « solidité » de la paroi abdominale proposera une suture pariétale simple ou renforcée par un« filet », matériel prothétique souple et biocompatible qui se place souvent derrière les muscles pour renforcer la paroi abdominale. Les récidives avec une suture simple peuvent aller jusqu’à 50% !

La hernie épigastrique est une hernie développée au niveau de « l’épigastre ». Elle correspond à un orifice anormal situé le plus souvent sur la ligne médiane (ligne blanche) entre l’extrémité inférieur du sternum (appendice xyphoïde) et l’ombilic. Contrairement à la hernie inguinale et ombilicale elle ne s’étrangle que très rarement. En cas de gêne ou de douleur, une réparation chirurgicale est proposée, avec ou sans renfort par un « filet ».

Les éventrations de la paroi abdominale sont des “ruptures” du plan musculo aponévrotique de la paroi. Elles sont dues soit à un traumatisme abdominal soit, dans la plupart des cas, après une incision chirurgicale. Cette complication post opératoire est favorisée par tout se qui “altère” le processus de cicatrisation et/ou  augmente la pression intra abdominale : tabagisme, obésité, infection, toux, vomissements, prise de corticostéroïdes ….

Les éventrations de petite taille, outre leur aspect inesthétique, peuvent provoquer des douleurs, des troubles du transit intestinal, voir une occlusion intestinale.

La reconstruction chirurgicale a pour objectif de restaurer une enceinte abdominale harmonieuse et de redonner à la musculature abdominale sa tension physiologique. L’intervention peut être réalisée soit par voie laparoscopique soit par voie ouverte. Le choix de la technique opératoire est conditionné par l’état du patient, les conditions locales et l’importance du “défect” pariétal. Il est maintenant établit qu’un renfort prothétique diminue significativement le risque de récidive.

Cette pathologie est fréquemment rencontrée chez les femmes multipares (après plusieurs grossesses). Normalement les deux muscles grands droits sont joints au niveau de la « ligne blanche » de l’abdomen sur la ligne médiane du corps. La pathologie se définit par la séparation du muscle grand droit entre ses parties gauches et droites. Il devient plus proéminent à l’effort et disparaît en position couchée lorsque les muscles grands droits sont relâchés. Il ne présente aucun risque d’étranglement mais peut occasionner une gêne voir une douleur surtout lors d’efforts abdominaux.

La cure chirurgicale du diastasis consiste à rapprocher sur la ligne médiane les deux muscles grands droits de l’abdomen associé ou non à la mise en place d’un « filet » placé derrière les muscles afin de renforcer la paroi abdominale et de diminuer le risque de récidive.

La pubalgie inguinopariétale est une pathologie fréquente chez le sportif, en particulier chez le footballeur. Il s’agit d’une inflammation du tendon « tendinite » des muscles qui viennent s’insérer sur l’aile ilio pubienne du bassin osseux. Les muscles adducteurs et abducteurs sont les plus touché mais cela touche également quelques faisceaux des muscles abdominaux antéro latéraux.

Les symptômes apparaissent graduellement et se traduisent par une douleur  à l’aine qui peut s’étendre sur le bas de l’abdomen et vers la face interne de la cuisse. Elle semble correspondre à des lésions anatomiques assez stéréotypées, avec rupture du fascia transversalis plus ou moins évoluée mais constante et parfois des conflits mécaniques avec les structures nerveuses adjacentes. En cas d’échec d’un traitement médical (repos, anti inflammatoires et kinésithérapie avec renforcement de la sangle abdominale) une solution chirurgicale peut être envisagée.

La technique chirurgicale utilisée est un traitement par voie ouverte et vise à remettre en tension les muscles de l’abdomen. Une incision de moins de 8 cm est pratiquée au niveau de l’aine. Après dissection de la région inguinale avec individualisation des éléments du cordon chez l’homme, du ligament rond chez la femme, des nerfs ilio-inguinal ; ilio-hypogastrique et genito-fémoral on réalise une plicature du fascia transversalis suivis d’un abaissement du muscle et du tendon conjoint sur l’arcade crurale. On peut y associé l’injection locale de cellules souches qui seront prélevées directement au niveau de crête iliaque. Certains chirurgiens pratiques une simple détente (section d’une partie du tendon) des muscles adducteurs.

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Hernie Inguinale

La hernie inguinale est la plus fréquente. Elle se présente au niveau de l’aine, la ou passe le « cordon spermatique » chez l’homme ; le « ligament rond » chez la femme.  C’est un orifice naturel de la paroi abdominale qui représente une zone de faiblesse. Elle peut être présente dés la naissance, voir apparaître à l’âge adulte.

Les symptômes peuvent apparaître soit subitement (après un effort), soit graduellement.  Elle se traduit par l’apparition d’une « voussure dans la région de l’aine » qui disparaît en position couchée. Le risque principal de ce type d’hernie est l’étranglement d’une anse intestinale dans le sac herniaire. C’est une urgence chirurgicale.

Le traitement chirurgical d’une hernie inguinale est généralement réalisé par voie laparoscopique (excepté lorsqu’elle est associée à une « pubalgie »). La laparoscopie à l’avantage de visualisé les deux orifices inguinaux de l’intérieur de l’abdomen et permet un diagnostic précis de la maladie, le patient présente peu ou pas de douleur post opératoire et le retour à une activité normale se fait plus rapidement.

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Hernie Ombilicale

La hernie ombilicale se présente au niveau du nombril. C’est également un orifice naturel de l’abdomen, là ou s’insère le « cordon ombilical » étant bébé. Souvent, elle se présente comme une « petite boule sous la peau » au niveau du nombril. La hernie ombilicale présente dés la naissance dite « congénitale » disparaît  souvent au cours des premières années. A l’âge adulte elle ne peut être traitée que par une opération chirurgicale. Au-delà de son aspect inesthétique, la hernie ombilicale peut provoquer une gêne, une douleur, voir une « occlusion intestinale » lorsqu’une anse intestinale est « coincée » dans le sac  herniaire.

Pour éviter les complications et le risque d’une intervention en urgence une réparation pariétale est proposée. La cure peut s’effectué par laparotomie ou par voie laparoscopique. Le chirurgien, en fonction de l’importance de la hernie et de la « solidité » de la paroi abdominale proposera une suture pariétale simple ou renforcée par un« filet », matériel prothétique souple et biocompatible qui se place souvent derrière les muscles pour renforcer la paroi abdominale. Les récidives avec une suture simple peuvent aller jusqu’à 50% !

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Hernie Épigastrique

La hernie épigastrique est une hernie développée au niveau de « l’épigastre ». Elle correspond à un orifice anormal situé le plus souvent sur la ligne médiane (ligne blanche) entre l’extrémité inférieur du sternum (appendice xyphoïde) et l’ombilic. Contrairement à la hernie inguinale et ombilicale elle ne s’étrangle que très rarement. En cas de gêne ou de douleur, une réparation chirurgicale est proposée, avec ou sans renfort par un « filet ».

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Eventration

Les éventrations de la paroi abdominale sont des “ruptures” du plan musculo aponévrotique de la paroi. Elles sont dues soit à un traumatisme abdominal soit, dans la plupart des cas, après une incision chirurgicale. Cette complication post opératoire est favorisée par tout se qui “altère” le processus de cicatrisation et/ou  augmente la pression intra abdominale : tabagisme, obésité, infection, toux, vomissements, prise de corticostéroïdes ….

Les éventrations de petite taille, outre leur aspect inesthétique, peuvent provoquer des douleurs, des troubles du transit intestinal, voir une occlusion intestinale.

La reconstruction chirurgicale a pour objectif de restaurer une enceinte abdominale harmonieuse et de redonner à la musculature abdominale sa tension physiologique. L’intervention peut être réalisée soit par voie laparoscopique soit par voie ouverte. Le choix de la technique opératoire est conditionné par l’état du patient, les conditions locales et l’importance du “défect” pariétal. Il est maintenant établit qu’un renfort prothétique diminue significativement le risque de récidive.

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Hernie de la Ligne Blanche

Cette pathologie est fréquemment rencontrée chez les femmes multipares (après plusieurs grossesses). Normalement les deux muscles grands droits sont joints au niveau de la « ligne blanche » de l’abdomen sur la ligne médiane du corps. La pathologie se définit par la séparation du muscle grand droit entre ses parties gauches et droites. Il devient plus proéminent à l’effort et disparaît en position couchée lorsque les muscles grands droits sont relâchés. Il ne présente aucun risque d’étranglement mais peut occasionner une gêne voir une douleur surtout lors d’efforts abdominaux.

La cure chirurgicale du diastasis consiste à rapprocher sur la ligne médiane les deux muscles grands droits de l’abdomen associé ou non à la mise en place d’un « filet » placé derrière les muscles afin de renforcer la paroi abdominale et de diminuer le risque de récidive.

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Pubalgie

La pubalgie inguinopariétale est une pathologie fréquente chez le sportif, en particulier chez le footballeur. Il s’agit d’une inflammation du tendon « tendinite » des muscles qui viennent s’insérer sur l’aile ilio pubienne du bassin osseux. Les muscles adducteurs et abducteurs sont les plus touché mais cela touche également quelques faisceaux des muscles abdominaux antéro latéraux.

Les symptômes apparaissent graduellement et se traduisent par une douleur  à l’aine qui peut s’étendre sur le bas de l’abdomen et vers la face interne de la cuisse. Elle semble correspondre à des lésions anatomiques assez stéréotypées, avec rupture du fascia transversalis plus ou moins évoluée mais constante et parfois des conflits mécaniques avec les structures nerveuses adjacentes. En cas d’échec d’un traitement médical (repos, anti inflammatoires et kinésithérapie avec renforcement de la sangle abdominale) une solution chirurgicale peut être envisagée.

La technique chirurgicale utilisée est un traitement par voie ouverte et vise à remettre en tension les muscles de l’abdomen. Une incision de moins de 8 cm est pratiquée au niveau de l’aine. Après dissection de la région inguinale avec individualisation des éléments du cordon chez l’homme, du ligament rond chez la femme, des nerfs ilio-inguinal ; ilio-hypogastrique et genito-fémoral on réalise une plicature du fascia transversalis suivis d’un abaissement du muscle et du tendon conjoint sur l’arcade crurale. On peut y associé l’injection locale de cellules souches qui seront prélevées directement au niveau de crête iliaque. Certains chirurgiens pratiques une simple détente (section d’une partie du tendon) des muscles adducteurs.

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